Raconter l'intime - projections nomades

Dimanche 17 décembre, au programme : le rapport au corps, à l’intime, la parentalité et la maternité
- 15h : Projection de 4 courts-métrages documentaires d’animation
- 16h : Goûter
- 17h : Projection du film « L’ombre des mères » en présence de la réalisatrice Murielle Labrosse.
15h, séance de courts-métrages, 5 €
Quatre courts-métrages aux formes créatives plurielles pour explorer l’animation mais aussi l’intime.
- « La vie sexuelle de mamie » d’Urška Djukić et Émilie Pigeard (13’, 2021)
Un voyage dans la jeunesse et les souvenirs intimes d’une grand-mère illustre le statut des femmes slovènes pendant la première partie du vingtième siècle.
- « Et ta prostate, ça va ? » de Jeanne Paturle et Cécile Rousset (4’, 2015)
Une discussion entre 2 copines : l’une raconte à l’autre ce moment si étrange où, au bord de la piscine, elle a pris des nouvelles de la prostate de son père, de l’état de ses fonctions érectiles, puis, sans le voir venir, de ses fantasmes nocturnes.
- « Histoires d’entrejambes » de Myleine Guiard-Schmid (35’, 2020)
“Tu enfanteras dans la douleur”. Pourquoi ? Y a-t-il d’autres récits ? Parce que naissance ne rime pas toujours avec douleur, “Histoires d’entrejambes” transmet un nouvel imaginaire, celui de femmes qui cheminent vers la réappropriation de leur corps et de leurs accouchements. - « Jouïr (en solitaire) » d’Ãnanda Safo (11’, 2021)
Dans cette aire pandémique interminable, où notre sexualité a dû parfois évoluer, a été éprouvée, des femmes de différents horizons offrent leurs témoignages intimes, abordant leurs désirs et leurs plaisirs en solitaire.
16h : Goûter, boissons chaudes et gâteaux
17h : « L’ombre des mères » de Murielle Labrosse, en présence de la réalisatrice (50’, 2022), 5 €
Une femme voulait s’arrondir et fondre aussi souvent que la lune, mais elle n’est pas la femme lune qu’elle attendait.
La naissance d’un premier enfant la plonge dans la tourmente. Au fil des jours, l’illusion d’une maternité parfaite cède la place à la tragédie. Son récit, ponctué de témoignages d’autres femmes, évoque l’ambivalence maternelle et nous révèle une part plus sombre de la maternité.